Sur
une valse de Chopin
Et qui me fait tourner la tête
Je suis le
vole que dépeint
L'oiseau lyre en sa féerie
La lyre au doigt
comme on sourit
Lorsque l'on a le cœur en fête !
Et
s'il m'arrive ainsi de rire
Aux confins de mes rêves bleus
C'est
que, près de Toi, je respire
C'est l'éclosion de recevoir
Tes
Mots, Tes Gestes sans se voir
Et par ces jours, plus il ne
pleut !
Sur cette valse de Chopin
Comme furtive et
demie-nue
J'entends Van Gogh et qui a peint
« Les
Tournesols » que je t'envoie
Comme Tu dis : « j'aime
ta voix ! »
Comme s'ouvrent, pour Nous, les Nues !
Le
petit sillon prend des graines
Et les fleurs jaillissent un
jour...
L'on va la vie, l'on s'y promène
Avec, en soi, de
tendres lieux
Qui nous feraient pleurer les yeux
Mais le
sourire offre l'amour !
Sur cette valse de Chopin
Comme
le parfum du bonheur
Je t'envoie le vent d'un lupin,
La lumière
de mes clartés
Car – ici-bas – la Liberté
Près de ton
écho... C'est mon heure !
Commentaires
merci fanfan de vos commentaires qui me touchent... je suis vraiment navré pour votre petite chienne... mais je suis sûr qu'auprès de vous et des vôtres, sa vie fut belle!
Amitiés
Alain
Bonsoir Alain, merci pour votre soutien, Alain, j'y suis très sensible, je sais que vous connaissez cette souffrance...
Magnifique, cette valse de Chopin, quel beau poème pour votre amie Chantal, merci, pour ce joli partage.
Mes amitiés, fanfan